Contrôler les Supercondensateurs

Dans les pages des livres précédents, tout au cours de nos déplacements, parfois nous évoquions une idée technologique. Ainsi à la page "Mailles en opposition", le schéma de l'alternance du Inn et du Yang au sein des 8 mailles nous permet de concevoir un contrôleur de supercondensateurs.

Ces supercondensateurs maîtrisés sont amenés à remplacer nos réservoirs d'essence et à promouvoir les engins locomoteurs électriques pour pouvoir passer le cap futur de la pénurie en hydrocarbure. Cette future pénurie est source d'une récession économique et énergétique ; elle est évitable si l'énergie électrique du nucléaire, de la naturelle ou du solaire peut être accumulée dans des puissants réservoirs d'électrons. Cependant les supercondensateurs ont tendance à décharger beaucoup plus vite que nos faibles batteries électrochimiques, d'où cette idée technologique.

dessin du contrôle des supercondensateurs


Dans ce schéma technique, le symbole du inn et yang est extrudé. Ainsi, les périmètres du disque deviennent les parois cylindriques de deux grands compartiments. L'un est issu de la partie Inn, l'autre de la partie Yang. Vous pouvez alors remplir chaque compartiment avec des ions dont la charge est opposée par rapport à celle des ions du compartiment mitoyen.

Chaque compartiment est alors garni entièrement par un matériau nano-poreux de type zéolite ; pour permettre d'isoler soit des cations dans l'un, soit des anions dans l'autre, de manière nanoscopique. Le choix du matériau zéolite est alors orienté par son poids ; il en est de même pour la substance à ioniser, qu'elle soit en liquide, en gaz ou en poudre, l'essentiel et que les cations aussi bien que les anions puissent s'isoler dans les creux de la zéolite. Cependant pour ces ions, non seulement leur taille et leur poids oriente le choix, mais surtout la quantité de charge pouvant être acquis (simple, double, voir triple) est une donnée importante.

La production des ions et leurs décharges en vue de la création d'un courant de force électrique, repose sur le principe des paratonnerres. À chaque extrémité du cylindre et à l'emplacement du petit œil, disque de couleur opposé au reste du compartiment en inn ou en yang, plonge un collecteur électrique à pointe conique. Ces collecteurs sont positionnés individuellement sur un des plans en vis-à-vis, chacun en solitaire dans son compartiment. Chaque collecteur est prolongé d'un nanotube conducteur ; celui-ci baigne alors dans le matériau à ioniser (soit en cation pour l'un soit en anion pour l'autre) au sein de la zéolite.

À partir d'une certaine distance, chaque collecteur est chapoté, dans son prolongement, par un tube fermé isolant un conducteur électrostatique. Cette colonne électrostatique ainsi que l'autre collecteur du compartiment mitoyen plongent à partir du même plan sur la même face. Leurs valeurs de charge identique varient en proportion logarithmique (à l'aide d'un circuit) l'un par rapport à l'autre suivant l'utilisation. Ceci favorise la charge des ions ou leur décharge suivant les besoins de forces électriques.

Vu le potentiel d'émission et d'accumulation de force électrique des supercondensateurs, la partie du contrôle devient primordiale. Pour ceci nous allons manipuler les trois vecteurs des champs électromagnétiques : 1) le vecteur électrique E, 2) le vecteur magnétique B et 3) le vecteur de la force motrice des ions, soit : pour les anions Fe/-q et pour les cations Fe/+q.
a) Le champ électrique est créé entre les deux tubes cumulateurs de charges électrostatiques. Ces deux tubes sont non seulement plongés dans des compartiments opposés, mais leurs charges sont, elles aussi, en opposition. Comme ces tubes électrostatiques sont positionnés au centre de leur compartiment à cations ou à anions, le champ électrique est donc renforcé lors de la charge et inversement lors de la décharge, d'où l'importance de réguler la force électrostatique de ces tubes, en fonction.

b) Le champ magnétique est induit par les deux séries d'aimants permanents et puissants, inclus en opposition et en périphérie dans le cylindre. Ce vecteur magnétique reste inchangé en puissance, mais par la rotation du cylindre par rapport aux deux compartiments le vecteur voit son angle d'action varier jusqu'à lui changer son sens.
c) Les ions prisonniers dans chaque compartiment vont se mobiliser grâce à l'action du champ de force induit par le couple du vecteur électrique et du vecteur magnétique. Ce champ de force va propulser les ions vers les collecteurs électriques, ou arracher des électrons d'ionisations à ces mêmes collecteurs, suivant l'orientation du champ magnétique commandé par la rotation du cylindre périphérique et donc des aimants. En outre le débit et la force de charge ou de décharge vont non seulement dépendre de l'orientation du vecteur magnétique par rapport à l'axe de la plus forte intensité (cet axe est alors perpendiculaire à E), mais aussi par le nombre de charge électrostatique contenu dans les tubes cumulateurs fermés et enchâssés dans leur compartiment à ions.


Avantages

Ce contrôle délivre aux moteurs électromécaniques des forces accélératrices ou restrictives de manière très fine avec la possibilité de très grandes amplitudes. Ce procédé est donc applicable des petits moteurs d'horloge jusqu'aux moteurs puissants de vaisseau intersidéral.
Grâce au pouvoir catalyseur du palladium sur les atomes stables ; une zéolite de palladium favoriserait-elle la production d'ions riches en charge (de 3, voire 4 charges par ion) à partir des atomes de carbone ou de soufre (plus lourd) ?

La conception cylindrique de ses supers condensateurs permet des groupés pour un contrôle commun. Cette synergie s'effectue alors, par engrenage mécanique entre les cylindres pour l'orientation des aimants et par un circuit électronique général qui régule logarithmiquement, en charge ou en décharge le rapport entre les collecteurs électriques et les tubes à cumul électrostatique.
Cette étude est une prémices de la mise en place d'un plan en huit mailles. Elle peut aussi se poursuivre par des techniques (au lieu de technologie) ; par exemple avec "LA RELAXATION".

De Circum HUTI, le 08/10/2010, mdf : .