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Site d'un amateur ;
ce ne sont que mes idées ; mais surtout pas des vérités établies. Donc, abordez-les, avec circonspections !
Elles développent la notion d'un treillis composé de huit mailles universelles.

Ce treillis intemporel, je le conçois comme présent dans toutes mutations. Il permettrait l'évolution de toute complexité face à l'usure, au cours du temps.
Merci de les soumettre à vos discernements professionnels, à la rigueur mathématique, à vôtre lucidité.

---De la GENÈSE au STELLAIRE---


La genèse cosmologique

Un acteur caché

La matière noire a surement eu un rôle décisif dans la genèse de notre Univers.

Elle doit être la source de la structuration en étapes de l'Univers.


Une partie sombre

Les indices permettant de déceler la nature de la matière noire et ses effets sont les suivants.
-) La matière noire semble se concentrer plus en périphérie des galaxies, et encore plus au-delà des amas.
-) De grandes bulles de vide sont encerclées par des amas de galaxie.
-) Les galaxies en étoiles d'antimatière sont rares, voire inexistantes, car leur rencontre avec une galaxie courante entraînerait un flash cosmique destructeur.
-) Les trous noirs géants, ogres primitifs, pivots galactiques, sont apparus bien avant que la matière ait pu se condenser en galaxie d'étoiles.
-) Les flashs gamma des quasars sont surtout présents à l'aube du cosmos.
-) Nous voyons dans la page sur les particules au chapitre "L'extrémité de corde" que les particules noires, à l'identique des particules d'énergies non pas de couples chiraux dans notre Univers, à l'inverse du couple ordinaire matière et antimatière.

Si, donc on considère la particule de matière noire comme unique (et non duale), la matière noire et la matière ordinaire doivent se fuir ; cette idée va à l'encontre des cosmologistes, mais tient compte de la présence de la matière noire en périphérie plus que dans les étoiles des galaxies. Son action d'exclusion de la matière est alors comparable à une force d'antigravité par rapport à la force d'agrégation stellaire.
Mais, cette action diffère suivant son application, entre matière noire et matière ordinaire, ou entre matière noire et anti matière. En effet, les particules noires doivent diluer les particules de matière, et à l'opposé concentrer les particules d'anti matière en trous noirs géants primitifs et futures pivots de nos galaxies. Ainsi le rayonnement de Hawking, uniquement pour ces tous noirs centraux, doit être composé essentiellement d'antiquarks. De cette manière, on aboutit à ce que les particules de matière noire se comportent comme une baratte au sein du Big-bang pour aboutir, au début de l'âge sombre à des gaz homogènes d'atomes primitifs spiralant vers leur trou noir : mère galactique. Les émissions quasars brèves et ultra puissantes résultent aussi de la chute des atomes (issues des premières étoiles, géantes) sur la singularité geôlière de l'antimatière.
Les particules noires, toutes identiques, furent les premières au sein du Big-bang énergétique. Elles sont donc conséquentes de la séparation en deux Univers opposés au sein du Néant primitif. Quant à l'énergie noire, elle serait due à l'action de dilution exercée par les grands vides de l'Univers : siège où domine la concentration des particules de matière noire.


Barattage

Pour rappel, toutes particules sous, hexagone de Planck, doivent être vue comme un jeton transparent où serait incluse une lettre (asymétrique), alors seule la face signifiante est lisible, visible, dans notre Univers.
La particule noire est identique à son anti particule, mais comme les quarks up ou down (ou les antiquarks) ont chacun 3 saveurs, la particule noire a aussi 3 saveurs ; ces trois saveurs correspondent aux trois placements possibles de la face d'hexagone dans le cube de Planck. Or dans les atomes, domine que la 1ère génération en couple down et up. Mais, pour les particules noires, les 3 saveurs doivent être ,elles, en proportion égale. Elles contribuent donc à plus des 2/3 des masses de nôtre Univers, bien que son action gravitationnelle soit répulsive (à mes yeux).
Cependant chaque saveur comprend des particules noires à la fois "gauches" : 000 nnoire gauche, et aussi "droites" : 000 noire droite. Cette différence signe que le secteur encadré, du milieu, ne peut pas être divisé en deux triangles rectangles duaux ; donc la particule noire doit être représentée ainsi : 000 noire vrai.

  Tout l'espace infini et primitif du Big-bang se retrouve pavé de particules noires ; transformation de l'énergie issue de la séparation du Néant. Leur force de répulsion, comparable à de l'antigravité, marque l'ère inflationniste. De l'énergie puissante du vide primitif du Big bang, elles ont séparé les particules des antiparticules ; jusqu'à ce que ce vide atteigne le niveau actuel très faible en énergie, sous forme de mésons virtuels, trop éphémères, car d'une existence inférieure à l'intervalle de Planck.
Remarque, l'intrication se retrouve dans les champs, elle permet alors de séparer deux hexagones de Planck identiques mais orthogonaux dans des cubes de Planck différents. Ainsi, une refonte, sur un des hexagones, modifie aussitôt l'autre, quelle que soit sa distance espace-temps, voir d'un Univers différent.

Les particules noires sont soumises aux bosons de Higgs de valeur 0, d'où leur répulsion ; les particules de matières, aux bosons +1 ; les particules d'antimatière, aux bosons -1. Matière comme antimatière s'attire vue la valeur absolue de leurs bosons de Higgs, de 1. Cependant les particules noires, du fait de la valeur différente, 0, distinguent matières et antimatière d'où une répulsion de dilution sur les unes et une répulsion de granulation sur les autres ; parce que la particule noire a ses 3 sommets d'énergie côte à côte, et ils occupent donc, une moitié de l'hexagone de Planck (voir tableau).
Cette disposition exerce, bien sûr, une force répulsive sur les autres particules. Cependant, les particules vont être diluées dans l'espace par les particules noires ; tandis que les antiparticules, du fait de leur disposition hexagonale différente, vont être concentrées dans l'espace. Par l'action agglomérante des particules noires sur l'antimatière, on aboutit vers la fin du Big-bang à la disparition de ses antiparticules dans des immenses trous noirs, futurs noyaux galactiques.
En conséquence, le fond diffus de l'Univers était à l'origine, en totalité homogène, pour devenir fortement granuleux lors de son refroidissement ; hypothermie assurée par l'extraction et séparation, de l'énergie du vide, des couples neutron et antineutron.

les gravitations

Donc les trous noirs issues de nos récentes étoiles sont un agrégat résiduel de neutron, tandis que les trous noirs géants centraux sont un conglomérat fondamental d'antineutron, d'où leur taille et comportement différent entre ces deux populations.
Lors de rencontre entre deux galaxies, les trous noirs stellaires doivent être éjectés (avec une dilution future plus rapide), tandis que les trous centraux foncent l'un sur l'autre (en vue d'une fusion) ; la conséquence serait, lors de leur accouplement, une position plus proche des noyaux que le prévoit le modèle classique ; à l'inverse un retard plus prononcé pour l'ensemble des étoiles de chaque galaxies et encore plus pour leur zone périphérique riche en particules noires associées.
Les sursauts gamma, rayonnant des quasars, sont dus alors à l'absorption mutuelle, du couple de trou noir géant (pivot de la galaxie, et singularité en antiquarks). Cette coalescence des trous noirs centraux, en plus du flash gamma, devrait engendrer, à chaque pôle, une onde expansive qui balaye tout sur son passage et se concrétise alors en un gaz chaud, vidant le voisinage de tout apport stellaire.

La perte conséquente de masse galactique, due aussi bien à l'éjection qu'à l'absorption centrale des trous noirs, permet de différencier les jeunes galaxies de nos actuelles ; ces dernières ont gardé la dynamique primitive mais avec une masse manquante, d'autant plus importante que de trous noirs stellaires ont été conçus.
Dans la fournaise du Big-bang, les trois générations de particules noires sont réparties plus ou moins régulièrement. Là où se trouve le plus de générations noires, l'espace aboutit aux grandes bulles de vides cosmiques. À l'intérieur l'énergie sombre doit donc être plus prononcée.
Là où s'agence le moins de particules noires, une très grande partie ont alors séparés l'énergie primordiale pour accoucher des filaments en gaz cosmique de matière et des trous noirs géants d'antimatière, noyaux de futures galaxies. Dans ces parois d'amas de galaxie l'énergie sombre doit être plus faible.


La naissance galactique

Tout récemment, l'astrophysicien David ELBAZ, en observant un quasar nu situé à 5 milliards d'années-lumière (Big-bang : 13,7 milliards d'années-lumière), a constaté qu'un des jets polaires, enrichit chaque jour en étoiles super-géantes, une galaxie située à quelques dizaines de milliers d'années-lumière. Du coup, il relie ce jet et la brusque flambée d'étoile ; il propose que les trous noirs hyper-massifs, précédent alors, la formation de leur cocon galactique. Cependant la communauté scientifique rétorque que les jets sont insuffisants pour construire toute une galaxie.
À l'inverse, si ces jets sont constitués d'antimatières telles que des rayons anti-alpha, alors leur annihilation avec les atomes du gaz galactique, entrainerait des souffles puissants et très turbulents au sein de la future galaxie ; largement suffisant pour transformer la plus part du gaz primordial en bras spiraux d'étoiles primitives géantes.
Pour cela, les jets polaires d'anti-alphas relativistes relèvent de l'accrétion en trou noir géant d'antimatière. Or ici, je stipule que les particules exotiques de matière noire (pas celle du trou !), non seulement se fuient, mais aussi (si en grand nombre) séparent toute énergie en particules atomiques et antiparticules, cependant elles en concentrent l'antimatière et en diluent la matière.
Tout ceci aboutit, au cours de l'ère sombre, juste après le Big-bang, à d'immense bulle de vide où se concentre la matière noire. Cette dernière, en plus de casser tous rayonnements de photons puissants, chasse vers la périphérie d'abord le gaz de matière (qui aboutira aux filaments d'amas galactiques), puis les perles géantes d'antimatière condensées en des trous noirs primordiaux hyperdense, futures géniteurs et noyaux galactiques.
Si c'est vrai, alors l'origine du trajet de tous les quasars nus, est au centre de ces immenses bulles vides et le plan de leur future galaxie mère, est tangent à la périphérie de cette bulle. De plus ce plan est d'autant plus vrillé que le quasar père est massif, car son placement central va demander des aller retour sinusaux amortis. Au point qu'à partir d'une certaine masse colossale, le trou noir central va agencer ces spirales d'étoiles en une coque sphérique.

Récapitulons, à la fin du Big-bang, d'infini bulles de vide concentrent la majeure partie de la matière noire. Mais comme chacune fuit toute particule, cette bulle est quasi uniforme, avec une forte proportion à l'embonpoint. Tandis que les perles denses d'antimatières sont chassées vers les gaz d'atomes primordiaux qui peuplent les interstices entre les bulles.
Ces perles deviennent rapidement des noyaux hyperdenses d'antineutrons. Des anti-fermions en chute rotative vers le centre de la perle sont éjectés alors par leur pôle, le seul endroit où ils peuvent être libérer en une spirale d'Archimède serrée. Dans cette spirale d'Archimède étroite prédomine les rayons anti-alpha, par rapport aux rayons de bosons. Au cours, de son trajet, le jet chasse la matière noire environnante. Mais sa concentration au centre des immenses bulles de vide, créent au sein de ces faisceaux des nodules d'anti-alpha ; leur vitesse relativiste augmente leur durée de vie. Enfin, ce jet en spirale d'Archimède, par son impacte sur les gaz d'atomes engendrent un mouvement en spiral tourbillonnant et constrictif, due au souffle de l'annihilation des anti-alphas avec les atomes du gaz. C'est l'architecte des spirales galactiques.
En conséquence, les quasars nus devraient être majoritaire juste après le Big-bang ; et quelques millions d'année plus tard être minoritaire par rapport aux quasars dus à la coalition des galaxies. Les quasars nus devraient émettre des nodules d'anti-alpha, tandis que les quasars d'union de galactiques sont plus riches en rayons gammas, non détruits par la matière noire. Le flash due à l'amalgame des noyaux centraux galactiques est alors différent du flash du à la formation des perles géantes d'antimatières en trou noir, en outre ces derniers sont à la périphérie des immenses bulles de vide, et principalement au cours de l'ère sombre. De plus, ce processus expliquerait la prédominance de la masse du trou noir central par rapport à l’ensemble de ses étoiles, surtout au début de sa genèse.


Du Néant à la créativité

La formation de matière à partir des premiers matériaux noirs ; me permet d'aborder la genèse des ères cosmiques. Distinguons deux grandes périodes ; l'actuel avec l'individualisation en corps de plus en plus complexes, les distinguos ; et l'originelle avec le Big-bang.
  Dans le Big-bang s'est exprimé en premier une force de localisation en un couple d'agents, soit capteurs soit adaptateurs.
En effet, la séparation du Néant et le remplissage de notre Univers en matières noires, caractérise la première maille en ère du REMPLISSAGE ; elle répond à la question où.
Tandis que la formation de la matière ordinaire, catalysée par les particules noires, assoit la deuxième maille en ère de la MATÉRIALISATION ; elle répond à la question quand.
  La force suivante s'exprimant dans le Big-bang, est celle de potentiel, en un couple d'agents, soit promoteurs soit instigateurs.
Le premier, 010), la cause des structures de l'univers, est la GRANULATION en nucléons pour la matière et en noyaux galactiques pour l'antimatière, ils sont tamisés par la matière noire ; cette ère répond à la question pourquoi.
Suit le 011), les circonstances de la variété atomique de nôtre Univers, c'est-à-dire les NUCLÉOSYNTHÈSES primitives, stellaires, radioactives ; cette ère répond à la question autour de quoi. Elle est la charnière entre la fin du Big-bang et la deuxième grande partie.

  Une fois les atomes refroidis et libres, s'enclenche la deuxième grande partie, l'individualisation en distinguos. La période du Big-bang a vu ces ères se succéder ; à l'inverse des ères de la période des distinguos, là les ères sont incluses les unes dans les autres et deviennent de plus en plus locales dans l'univers. Dans les périodes actuelles des distinguos agissent deux autres forces, celle de transformation puis celle de maintenance.
La force de transformation se répartit dans le couple d'agents, soit de service soit acteurs. Le premier, 100), voit apparaître les compagnons de la complexification de la matière, c'est l'ère des AGRÉGATIONS en molécules, en poussières et en planètes ; elle répond à la question avec quoi.
Alors peut se mettre en place les sources de mutations, dans l'ère 101 des CONDENSATIONS en polymères, cristaux, gels ; elle répond à la question comment.
  Quand à la force de maintenance des distinguos, elle se répartit dans le couple d'agents, soit de contrôle soit soldeur. Le premier, 110), voit apparaître, dans les sites propices, le but cosmique : l'ÉVOLUTION dans la Vie ; elle répond à la question dans quel but.
Alors peut se mettre en place les conséquences finales, dans l'ère 111 de la
CRÉATIVITÉ au sein de civilisation technologique ; elle répond à la dernière question de telle sorte que.

  D'où :

Instructions : ères cosmiques :
Période action de la Réponse à
0 accolade bleu du Big bang 0 accolade verte force de localisation 0) Où ? 000 : du Remplissage.
0 0 1) Quand ? 001 : de la Matérialisation.
0 1 accolade verte force de potentiel 0) Pourquoi ? 010 : de la Granulation.
0 1 1) Autour de quoi ? 011 : des Nucléosynthèses.
1 accolade bleu des Distinguos 0 accolade verte force de transformation 0) Avec quoi ? 100 : des Agrégations.
1 0 1) Comment ? 101 : des Condensations.
1 1 accolade verte force de maintenance 0) dans quel but ? 110 : de l'Évolution.
1 1 1) De telle sorte que ? 111 : de la Créativité.


De Circum HUTI, le 14/05/2009, mdf le .

La matrice de la genèse cosmologique aboutit entre autre, à nous, intelligences terriennes. Lorsqu'elles sont bien définies, le circuit est alors Le Plan des corps stellaires, dont les 8 planètes solaires ne sont qu'un détail !


Systèmes stellaires

8 planètes solaires !

Bien sûr, notre système solaire est un Haut-Lieu de mutation, la vie sur terre s'épanouit depuis plusieurs centaines de millions d'années. Et à ce titre, il est tentant de voir la présence des huit planètes comme signe de ce dynamisme. Ainsi, les deux premières planètes sont soumises à la force de développement.

En effet à 000) correspond Mercure, la plus petite de toutes et la seule sans atmosphère permanente. Par sa position, tout près du Soleil, elle est le lieu de référence du système en entier. Elle répond bien à la question : Où. Car c'est l'endroit idéal pour épier les soubresauts de notre astre.
  Elle est suivie de 001) Venus. Une originale comme Mercure, car elle tournoie en sens inverse par rapport aux autres et très lentement. Par ce biais, elle répond bien à la question : Quand ; et souligne, en revanche, l'adaptation de ses sœurs à l'étoile centrale.


Après ces deux dandies, nous avons les sœurs cocons ; elles régissent la force de potentiel.

À 010) correspond notre Terre, siège de la vie évoluée. En tant que promotrice des mutations vitales, elle répond bien à la question : Pourquoi.
  Elle est accompagnée de 011) Mars. Terre congelée, étouffée, en attente d'évolution (grâce à une future lune protectrice et nourricière), elle fut surement pionnière de la vie. Par ce rôle d'instigatrice, elle répond à la question : Autour de quoi.


Pour protéger les évolutions du vivant, deux grosses planètes chargées de nettoyer, par renvoi vers les ceintures périphériques, par absorption, ou par garage dans la ceinture des astéroïdes ou sur leurs points de Lagrange, des corps perturbateurs. Elles contrôlent la force de Transformation.

Soit 100) Jupiter, maîtresse du système solaire, elle en est l'horloger. Son service de protection due à sa masse, répond bien à la question : Avec quoi.
  Elle est secondée par 101) Saturne, son épouse et associée. Son synchronisme avec Jupiter, lui permet de réguler le bouclier marital et donc, de répondre à la question : Comment. C'est elle l'actrice contrôlant cette force protectrice ; Jupiter assurant le service.


Enfin, nous abordons les planètes périphériques ; elles sont les réserves de lunes d'où surement, a déboulé la proto-lune (porteuse de notre atmosphère en azote et de nos océans) par interaction avec une étoile visiteuse et perturbatrice. Ces dernières planètes sont les gardiennes de la force de maintenance.

Ainsi, à 110) correspond Uranus. Son axe de rotation est incliné de telle façon que l'orbite de ses dizaines de lunes et anneaux, soit perpendiculaire à son orbite solaire. Elle est parée telle une fronde prête à envoyer des proto-lunes vers les planètes telluriques, au moindre remue-ménage due à la visite d'une fille de Neptune, qui en contrepartie verrait son orbite modifiée. C'est la contrôleuse des invitées du système solaire, car suivant l'angle et la vitesse de la frondeuse, elle va soit la sélectionner en tant que proto lune d'une tellurique, soit l'éjecté hors de l'écliptique ou la précipité vers Jupiter. Ceci, en réponse à la question : Dans quel but.
  Mais c'est bien 111) Neptune le gestionnaire des acquis en futures lunes pour les telluriques. En effet, je pense que Pluton et son satellite, ont été éjectés de Neptune, suite à une perturbation stellaire ; puis au voisinage d'Uranus s'est retrouvé détourné vers l'extérieur du système solaire ; d'où l'inclinaison prononcée de l'orbite de Pluton. Alors que dans la prime jeunesse, notre proto lune originaire de la banlieue de Neptune, a subit le même mécanisme, mais à l'inverse, sa trajectoire a pris la tangente vers le couple horloger Saturne - Jupiter, qui la mis en contact avec la proto terre, celle-ci à l'époque aussi lente et inhospitalière que Vénus. C'est pourquoi, en tant que gestionnaire du système solaire, Neptune répond bien à la question : De telle sorte que.


Attention aux 8 !

Cependant ce Fleuve planétaire (connaissances de 2009) est propre à notre Soleil ; il est surement la source de notre émergence humaine. Mais du fait de cette unicité, le circuit en 8 planètes solaires n'est qu'un artéfact du circuit stellaire. Le Fleuve, pour tous les systèmes stellaires, doit englober tous les corps possibles, des comètes à l'étoile principale. Les systèmes en l'absence d'un ou plusieurs composants sont alors incomplets, en circuits réduits.

C'est pourquoi, il ne faut jamais appuyer l'étude d'un circuit sur la présence de huit entités, sans englober tous les possibles. En effet il est alors fort probable d'être dans une particularité, voire un artefact ; or tout circuit est globaliste, il faut juste préciser l'objectif utilisé pour éviter toutes confusions.


Le Fleuve Stellaire

Parmi les entités d'un système stellaire on distingue les zy0) réserves des zy1) émissions.
Ce qui nous donne, en réponse aux questions et fondamentales d'un circuit des corps stellaires :

000) Les molécules et particules primitives.
  001) les comètes (agglomérats des 000).
  010) les corps condensés (par leur propre gravité), telles les planètes.
  011) les météorites (éjectas d'impacts des 010).
  100) les corps en fusion, telles les étoiles.
  101) les vents stellaires.
  110) les corps effondrés, telles les étoiles à neutrons.
  111) les émissions ultimes (des 110).
Les 8 planètes ne sont alors que les éléments de la dynamo des harmonies solaires. Elles constituent une particularité astrale parmi une des entités du 010) stellaire !

De Circum HUTI, le 28/04/2009, mdf le .

/Systèmes stellaires

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Circum HUTI, le 28/04/2009, mdf le 2010-04-08.

Vers : SUIVANTE.